Il s'agit d'un communiqué de presse de l'IFSN, qui ne reflète pas forcément l'opinion de l'AES.
« La Conférence générale de l’AIEA offre l’opportunité de représenter les intérêts de la Suisse dans le domaine de la sécurité, de la sûreté et de la vérification nucléaires. Elle permet également un échange entre spécialistes avec nos collègues internationaux », explique Marc Kenzelmann, directeur de l’IFSN et membre de la délégation suisse à Vienne.
Un thème central de la conférence est également la gestion de la pandémie Corona au niveau national et international, tant au niveau des autorités de contrôle que des installations nucléaires. « En Suisse, la surveillance des installations nucléaires a été garantie à tout moment, même pendant la pandémie. Toutes les installations nucléaires étaient conformes aux exigences légales et pouvaient être exploitées en toute sécurité », déclare Marc Kenzelmann. « Mes discussions avec les collègues internationaux montrent que c’était également le cas dans la plupart des autres pays. Néanmoins, il est important que nous échangions nos expériences et nos meilleures pratiques au niveau international et que nous intégrions les leçons tirées de la pandémie dans nos travaux futurs. L’AIEA joue un rôle central à cet égard».
Événements internationaux sous la présidence suisse
Outre les échanges avec de nombreuses autorités de surveillance d’autres pays, la délégation suisse a également au cours de son programme rencontré la nouvelle directrice adjointe de l’AIEA et chef du département de la sécurité et sûreté nucléaires, Lydie Evrard. Il a notamment été question des différents événements internationaux qui auront lieu l’année prochaine sous la présidence suisse. L’un de ces événements est la septième conférence d’examen de la Convention commune sur la sûreté de la gestion du combustible usé et la sûreté de la gestion des déchets radioactifs (Joint Convention) et la Convention sur la protection physique des matières nucléaires (CPPNM/A).(ensi)